Pourquoi le Covid-19 et ses variant Delta et Omicron continuent-ils à tuer les vaccinés « vaccins et rappels »

Pourquoi le Covid-19 et ses variant Delta et Omicron continuent-ils à tuer les vaccinés malgré « les vaccins et rappels » !

La raison essentielle réside sur la gestion vaccinale.

Les différents gestionnaires vaccinaux nationaux et certains internationaux ont confondu l’indice qualitatif vaccinal et l’indice de quantitatif vaccinal.

La qualité vaccinale n’a pas été respectée.

Le rôle d’un vaccin consiste à injecter dans l’organisme des anticorps de manière à créer une contre-force ou une force de résistance à l’arrivé du virus. En réalité, c’est d’avoir des anticorps suffisants et forts afin de freiner et d’anéantir la force ou ténacité lors d’apparition du virus. D’ailleurs c’est pour cette raison que l’on administre le vaccin avant que le patient ne soit atteint par le virus considéré.

 

Vaccins ARN messager Pfeizer-BioNTech et Moderna

Selon les essais cliniques et recommandations des fabriquant, l’intervalle initialement prévu entre la 1ère injection et la 2ème injection est de 3 semaines (21 jours).

La quantité vaccinale (incompatibilité avec la qualité vaccinale).

Dans le but d’accroitre le nombre de personnes ayant eu la 1ère injection, les pouvoirs publics ont accru l’intervalle de temps à 5 semaines (presque le double). 

Le facteur temporel ayant été presque doublé, dans l’espace temps la 2ème injection tardive n’a pas pu jouer son rôle de booster-vaccinal. En effet lors de la 2ème injection les anticorps de la 1ère étaient presque inexistants. En réalité, la 2ème injection n’a été autre et n’est autre qu’une 1ère injection. Les variant Delta et Omicron n’ayant en réalité rencontrés leurs « clients » qu’avec une dose « efficace », et en fonction de l’intervalle temps entre la dose « efficace » et le croisé du virus, suivant les situations sanitaires des clients, ils peuvent plus ou moins être atteints des formes graves.

 

Vaccin AstraZenica

Selon les essais Cliniques et recommandation du fabriquant, l’intervalle initialement prévu entre la 1ère  injection et la 2ème injection est de 3 à 4 semaines.

Dans le but d’accroitre le nombre de personnes ayant eu la 1ère injection, les pouvoirs publics ont accru l’intervalle très au-delà des  3 semaines initialement prévue.

Tant que pour les vaccins Pfeizer-BioNTech et Moderna, et AstraZenica, les intervalles entre les 1ères  et les 2èmes ayant eues des altérations considérables, dès lors les 2èmes injections n’ont malheureusement été que des simples 1ères doses. « En réalité y a eu un certain gaspillage de doses, perte de temps pour les patients et le corps médical, et surtout une certaine illusion vaccinale.

Il aurait fallu vacciner efficacement 50% des vaccinés, qu’une distribution vaccinale à 100% où l’efficacité soit presque obsolète.

Par ailleurs, le Royaume-Uni ayant espacé à 12 semaines les deux premières doses, a rendu presque totalement obsolète son schéma vaccinal, au point à permettre à se questionner :

« Pourquoi le Royaume-Uni ne parvient pas à endiguer le nombre de contamination malgré la vaccination ? »

Naturellement, lorsque l’on sait que selon l’étude clinique l’intervalle entre la 1ère  injection et la 2ème injection soit de 3 à 4 semaines pour le vaccin AstraZenica, et que l’intervalle ait été repoussé à 12 semaines (triple ou voir quadruple du temps initialement prévu), il n’est pas étonnant l’inexistence d’anticorps additionnels injectés lors de la 1ère dose.

Et par ailleurs, en fonction de la date de la dernière injection il est possible qu’à l’arrivé du variant Omicron, qu’il n’y ait plus aucun anticorps additionnel. « Illusion vaccinale ».

 

La France du Peuple, et pour le Peuple

Américo Jonas COSTA « AJC »

 

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