8 – Immigration

 

8 – [AJC] – Immigration – [Référendum]

 

 

Le Ministère de l’intérieur conduira un Référendum Oui ou Non à une régularisation générale des toutes personnes en situations dites irrégulières à l’égard de la loi et non de la nature qui se trouvent sur nos sols depuis 12 mois, saufs pour ceux qui détiennent des visas délivrés par des pays tiers y compris des membres CE.

 

Nous ne pouvons par ignorer le pourquoi certaines personnes se trouvent dans ces situations. Quelques fois, nous devrions nous interroger sur cette question.

 

Il est clair, que nous ne pouvons pas accueillir tout le monde. Néanmoins, les expulser sans analyser de près leurs cas serait une absurdité.

 

C’est pourquoi, le Ministère de l’intérieur devra dans un premier temps faire un recensement des toutes les personnes en situations Irrégulières. Le recensement se déroulera sous forme d’une inscription volontaire des intéressées. C’est-à-dire, les personnes en situations irrégulières s’adresseront aux Commissariats, Gendarmeries, Préfectures ou sous-préfectures, Mairies, pour décrire leurs situations.

 

Elles disposeront de trois mois pour se manifester.

 

Pendant cette période, il n’y aura aucune expulsion, en contre partie, seuls les visas humanitaires et diplomatiques seront délivrés, sur des supports bioniques ou électroniques.

 

Si lors du Référendum l’Oui l’emporte, le Ministère de l’intérieur publie un arrêté de régularisation.

 

Les personnes concernées :

-          Les personnes venues avec visas délivrés par nos Ambassades et Consulats ayant un an en France, n’ayant aucun passé délictueux

-          Les personnes venues avec visas délivrés par nos Ambassades et Consulats ayant des enfants nés en France n’ayant aucun passé délictueux

-          Les personnes venues avec visas délivrés par nos Ambassades et Consulats ayant un an en France et qui suivent une scolarité régulières avec bon résultats n’ayant aucun passé délictueux

-          Les personnes venues avec visas délivrés par nos Ambassades et Consulats ayant un an en France (avec un travail stable et déclaré, cotise, pays ses impôts et charges).

 

Autres cas :

 

Les personnes qui ne s’inscrivent pas parmi les critères citées ne seront renvoyées dans leurs pays d’origines. Il faut responsabiliser les pays émetteurs des visas. Elles seront renvoyées aux pays émetteurs de leurs visas. En effet l’émission d’un visa, par définition accepte la présence de la personne sur son territoire.

Par ailleurs, pendant la période de transition les frais des subsistances, soins, hébergement seront à la charge du pays émetteur du visa, et notamment les frais de transfert.

 

Introduction d’un système bonus malus immigration

 

Bonus

Une personne d’origine étrangère ayant un bon comportement lors de sa mise en retraite si elle quitte le territoire national aura la faculté à choisir une personne de sa famille à venir lui remplacer à son travail.

 

Malus

 

Une personne d’origine étrangère à comportement délicat ne pourra pas prétendre le regroupement familial.

 

Aucun visa pour ses proches. Sauf pour de raisons humanitaires pour soins, qu’après avis d’experts médicaux.

 

Durant son séjour la personne sera sous contrôles des autorités compétentes.

 

Elle devra disposer d’un titre de transport retour, et elle doit disposer des moyens économiques pour ses soins et subsistance. Une assurance responsabilité civile et de rapatriement sera nécessaire, ainsi qu’une assurance maladie, accidents.

 

 

Traitement durable de l’Immigration

 

L’immigration ne constitue pas un problème.

 

Le concept migratoire est un problème sociétal.

 

Personne ne quitte son pays pour s’y installer ailleurs sans raisons valables. En effet lorsqu’une personne quitte son pays il le fait avec un arrachement ou déchirement de son cœur car en général, elle laisse derrière elle ses proches les plus précieux (parents, enfants, sœurs, frères, proches, amis, et autres). Certaines quittes pour des conditions des vies, et d’autres pour sauver leurs vies.

 

Afin de traiter durablement la situation liée à l’immigration, il faudrait participer activement aux développements des pays d’où viennent les immigrés. Faute de quoi, toute action à ce traitement ne serait autre qu’un simple colmatage purement superficiel. Il faudrait créer un plan développement. Où pour chaque pays à créer une coopération d’échanges où la France reçoive périodiquement de 500 à 1000 ressortissants pour leurs former (une fois formés retournent dans leurs pays). Et pour accélérer leurs formations la France envoie le même nombre de Français pour former les nationaux sur-place. Naturellement que ce type de coopération serait en priorité pour les pays auxquels existent des liens rapprochés avec la France.

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